La cinquième édition du salon FUNÉRAIRE GRAND SUD, le salon pro de l’innovation funéraire, se tenait les 23 et 24 juin derniers au Pavillon du Stade Toulousain. L'événement occitan, qui s’affirme d’année en année avec un nombre d’exposants en très nette croissance, s’est déroulé dans une atmosphère conviviale faite de moments de partage, de business et d’échanges.
Résonance : Quelles sont les raisons et/ou motivations qui vous ont amené à participer à cette 5e édition du Salon FUNÉRAIRE GRAND SUD à Toulouse ?
Delphine Rivaud : Le salon de Toulouse est pour nous l’occasion de rencontrer des professionnels du funéraire qui ne se rendent pas forcément à Paris ou Lyon. Contrairement à ces deux gros évènements, le salon FUNÉRAIRE GRAND SUD attire moins d’exposants. De ce fait, il y règne également un esprit de convivialité que l’on ne retrouve pas ailleurs, mais qui rend cette manifestation tellement agréable.
R : Quel a été votre ressenti vis-à-vis de ce millésime (exposants, contenu, fréquentation, etc.) ?
DR : Chaque année, nous constatons une affluence de plus en plus forte de la part des visiteurs, mais également des exposants. Beaucoup d’acteurs du funéraire ont été représentés, avec aussi de nouvelles entreprises innovantes qui ont participé. Cela valait bien le coup pour les professionnels de venir y faire un tour.
R : D’un point de vue commercial, ce salon vous a-t-il permis d’atteindre de nouveaux clients et a-t-il été apporteur d’affaires pour votre entreprise ?
DR : L’année dernière avait vraiment été exceptionnelle pour nous, puisque tous les véhicules que nous avions exposés avaient été vendus. Cette année, nous avons également bien travaillé, avec de bons contacts et une forte demande concernant des véhicules neufs.
R : Pour conclure, auriez-vous des attentes particulières pour la prochaine édition ?
DR : Peut-être faudrait-il avancer la date du salon pour ne pas faire doublon avec le salon de Bologne ou d’autres manifestations du funéraire, car cela a probablement porté préjudice à cette édition, notamment le dernier jour.
Résonance n° 183 - Septembre 2022
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