À l’heure où la presse nationale s’interroge sur la pollution des cimetières, et plus généralement au sujet de l’emprise CO2 de la mort, selon qu’on ait choisi la crémation, l’inhumation ou, ailleurs, la promession, l’aquamation et bien d’autres possibilités au-delà de nos frontières… À l’heure donc où parler de pollution est "tendance", le silence est d’or pour répondre à nos questions sur les risques que nous encourons à manipuler des défunts traités par la curiethérapie.