C’est fin 2003 que la municipalité de Saint-Fargeau-Ponthierry avait décidé de créer un équipement de crémation sur sa commune, afin d'y compléter le dispositif funéraire déjà établi. La construction et l’exploitation avaient été confiées aux Pompes Funèbres Roger Marin, entreprise fondée en 1929. C’était à l’occasion du salon Funexpo 2006 que Philippe Le Normand, Directeur Général des Pompes Funèbres Roger Marin avait concrétisé, auprès du "Groupe de Facultatieve Technologies", l’achat d’un four de crémation équipé d’une ligne de traitement et de filtration des émissions atmosphériques.
Il faut savoir que si le crématorium ouvre enfin, ce sera malgré de nombreuses polémiques depuis le lancement du projet, il y a cinq ans. Ainsi, l’année dernière, les travaux du crématorium ont dû être interrompus à la suite d’un recours déposé par des associations hostiles au projet. En effet, les opposants dénonçaient une éventuelle pollution, émise par les appareils de crémation susceptibles de rejeter dioxines et autres vapeurs mercurielles.
Face aux arguments des réfractaires, la solution a été d’opter pour un équipement de pointe. Cette exigence souhaitée par M. Lionel Walker, Maire de Saint-Fargeau-Ponthierry, fait de la Seine-et-Marne le 3ème département français doté d’un tel équipement.
Pour permettre cette mutation technologique, faite en fonction des exigences imposées par la ville, les Pompes Funèbres Roger Marin, délégataires du crématorium, ont préconisé la ligne de traitement et de filtration de Facultatieve Technologies, leader mondial en la matière, pour la partie technique et les services du Cabinet Pierre Bonnaud pour la partie architecturale.
Ainsi la conception du crématorium répond en tous points au cahier des charges : Construction en pierre meulière et bois, sur-isolation, insertion paysagère soignée…mais surtout, très faibles émissions polluantes.
"Ce crématorium bénéficie d'un système de filtration qui permet d'approcher un niveau de pollution quasi nul. Ses fumées renferment des polluants à des taux dix à cent fois inférieurs à ceux fixés par la réglementation française", en l’occurrence le décret du 20 décembre 1994, souligne Jean-Pierre Guillermin, directeur France de la société hollandaise Facultatieve Technologies.
Grâce à ce dispositif les rejets de type "poussières", "HCI (Acide Chlorhydrique)" ou encore "S02 (Dioxyde de Soufre)" sont de 10 à 100 fois moins importants et il en est de même pour les dioxines et autres rejets mercuriels.
Investissement pour financer l’équipement : 1,6 million d’euros, dont 350 000 pour la ligne de filtration.
Une demande de la population
Le crématorium de Saint-Fargeau-Ponthierry va ainsi pouvoir répondre à la demande croissante de ce type de funérailles.
Le complexe de Saint-Fargeau-Ponthierry n'a pas été installé par hasard, il doit répondre à la demande des Seine-et-Marnais, principalement ceux du Sud du département, car jusqu'ici, il fallait se déplacer dans les départements voisins pour trouver un crématorium : Montfermeil et Villetaneuse (93), ou encore Arcueil et Valenton (94), pour les habitants du Nord de la Seine-et-Marne, et Evry-Courcouronnes et Avrainville (91), ou Amilly dans le Loiret, et Joigny, dans l'Yonne, pour ceux qui résident dans le Sud du département.
L'espace funéraire de Saint-Fargeau prévoit de réaliser 500 crémations la première année et ce chiffre devrait augmenter à l'avenir.
Une architecture en osmose avec la nature et le parc naturel du Gâtinais
La conception du bâtiment privilégie l’esprit d’accueil et de recueillement comme nous le souhaitons à certains moments de la vie. Il a été volontairement conçu à l’échelle humaine ce qui lui donne un caractère familial et intime.
D’un point de vue architectural, le bâtiment donne envie d’être découvert, sans rien laisser deviner de son activité. Les espaces d’accueil et de cérémonie ont été dotés de volumes calmes, reposants et suffisamment amples.
Le choix environnemental
Le nouveau crématorium de Saint Fargeau-Ponthierry, est un crématorium de pointe en matière de technologies de crémation avec, entre autres, le four FT III et la ligne de filtration de Facultatieve Technologies.
Le FTIII fait partie de la dernière génération de fours. La chambre de combustion est extra-large pour répondre à la demande croissante de crémations plus importantes aussi bien au niveau du poids qu’au niveau de la taille.
La ligne de filtration Facultatieve Technologies (80 lignes installées à ce jour) demeure le produit phare permettant d’abattre les éventuels polluants générés par la crémation. Les effluents rejetés dans l’atmosphère sont, ainsi, définitivement épurés par un traitement spécifique, avec injection de réactif et un dispositif de filtration. Les résidus de filtration sont collectés et enfermés automatiquement dans un fût hermétique destiné à cet effet. Ce fût sera ensuite acheminé en centre d ‘enfouissement dit de classe 1 pour y recevoir un traitement final. Ce protocole à haute qualité environnementale permet d’abattre de façon spectaculaire les dits polluants et en particulier de faire passer les résultats sans filtration de :
- 100 mg / Nm3 pour les poussières à des valeurs très en dessous de 10 mg / Nm3.
- 1 mg / Nm3 pour le mercure à des valeurs très en dessous de 0,1 mg / Nm3.
- 1 ng / m3 pour les dioxines à des valeurs très en dessous de 0,1 ng / Nm3.
Les autres polluants HCl, SO2 sont également abattus dans des proportions importantes en fonction des exigences de la commune et du niveau de réactif utilisé.
Les Pompes Funèbres Roger Marin ont souhaité également mettre en œuvre les dernières technologies HQE relatives à la sécurité du personnel au moment de la pulvérisation des calcius et du transfert des cendres. Dans ce cas précis, les produits Facultatieve Technologies ont permis de sécuriser ces deux types d’opérations. Le dispositif de pulvérisation ultrarapide doté du cabinet de transfert des cendres est également équipé d’un filtre à manche.
Une famille au service des familles endeuillées
Au cours de son discours, Philippe Le Normand ne manqua pas de rappeler sa fierté de présenter ce crématorium "Sud 77" doté d’une technologie de dernière génération, ni de redire que c’est cette approche "qualité" qui a séduit M. le Maire.
Il a précisé que c’est presque un tiers de la population française, qui choisit aujourd’hui, la crémation comme mode de sépulture (*), et cité : "lorsque nous écoutons les familles, nous retenons plusieurs critères à l’origine de leur décision et principalement :
- Les urnes prennent peu d’espace et peuvent être déplacées sans difficultés.
- Ce mode funéraire peut s’avérer moins coûteux
- L’hygiène et la salubrité, avec le refus de la décomposition en terre…"
Toutefois en tant que professionnel du funéraire, il a attiré l’attention, sur le devenir des cendres, en particulier lorsque le choix énoncé est "La dispersion des cendres", de par son caractère irréversible. Il a insisté sur la nécessité d’être particulièrement attentif à la sensibilisation des familles sur ce point. Notant que les Pompes Funèbres Roger Marin se sont engagés à conserver gratuitement les cendres d’un défunt dans l’enceinte de l’établissement pendant une durée d’un mois et ce, dans le seul but de laisser aux familles, le temps de la réflexion.
Il a remercié particulièrement Marie-Laure Le Normand son épouse et Valérie Racault sa sœur pour leur implication dans le raffinement intérieur du bâtiment. Puis sa mère Claire Marin et tous les collaborateurs qui ont suivi l’évolution du projet. Sans oublier toutes les entreprises et leurs collaborateurs ayant participé de près ou de loin à cette réalisation.
Pour conclure il a rendu un hommage particulier à celui sans qui rien ne serait, son aïeul Roger Marin, qui fut un visionnaire, avec une notion précise et étonnante de l’évolution du secteur funéraire et qui dès les années 60/70 attirait l’attention de ses confrères sur une nécessaire préparation à de grands changements, tels que les transferts de corps sans cercueil, la prévoyance funéraire ou encore l’abolition du monopole.
Les dernières paroles de Philippe Le Normand ont été empreintes d’une grande émotion, particulièrement lorsqu’il a évoqué qu’en 1997 à l’âge de 89 ans, peu avant sont décès, son grand-père lui donnait encore de précieux conseils professionnels et qu’il avait transmis à ses descendants, son désir de satisfaire et de rendre service aux familles endeuillées.
C’est ainsi que sa fille Claire Marin continue à transmettre son savoir accompagnée de deux de ses enfants.
(*)Aujourd'hui, 27 % des obsèques se font par crémation et nous sommes sur la tendance d’un français sur trois à l’horizon 2012, soit 33%. Les 12 crématoriums en activité en Ile-de-France ont réalisé près de 17 000 crémations en 2007.
Il faut savoir que si le crématorium ouvre enfin, ce sera malgré de nombreuses polémiques depuis le lancement du projet, il y a cinq ans. Ainsi, l’année dernière, les travaux du crématorium ont dû être interrompus à la suite d’un recours déposé par des associations hostiles au projet. En effet, les opposants dénonçaient une éventuelle pollution, émise par les appareils de crémation susceptibles de rejeter dioxines et autres vapeurs mercurielles.
Face aux arguments des réfractaires, la solution a été d’opter pour un équipement de pointe. Cette exigence souhaitée par M. Lionel Walker, Maire de Saint-Fargeau-Ponthierry, fait de la Seine-et-Marne le 3ème département français doté d’un tel équipement.
Pour permettre cette mutation technologique, faite en fonction des exigences imposées par la ville, les Pompes Funèbres Roger Marin, délégataires du crématorium, ont préconisé la ligne de traitement et de filtration de Facultatieve Technologies, leader mondial en la matière, pour la partie technique et les services du Cabinet Pierre Bonnaud pour la partie architecturale.
Ainsi la conception du crématorium répond en tous points au cahier des charges : Construction en pierre meulière et bois, sur-isolation, insertion paysagère soignée…mais surtout, très faibles émissions polluantes.
"Ce crématorium bénéficie d'un système de filtration qui permet d'approcher un niveau de pollution quasi nul. Ses fumées renferment des polluants à des taux dix à cent fois inférieurs à ceux fixés par la réglementation française", en l’occurrence le décret du 20 décembre 1994, souligne Jean-Pierre Guillermin, directeur France de la société hollandaise Facultatieve Technologies.
Grâce à ce dispositif les rejets de type "poussières", "HCI (Acide Chlorhydrique)" ou encore "S02 (Dioxyde de Soufre)" sont de 10 à 100 fois moins importants et il en est de même pour les dioxines et autres rejets mercuriels.
Investissement pour financer l’équipement : 1,6 million d’euros, dont 350 000 pour la ligne de filtration.
Une demande de la population
Le crématorium de Saint-Fargeau-Ponthierry va ainsi pouvoir répondre à la demande croissante de ce type de funérailles.
Le complexe de Saint-Fargeau-Ponthierry n'a pas été installé par hasard, il doit répondre à la demande des Seine-et-Marnais, principalement ceux du Sud du département, car jusqu'ici, il fallait se déplacer dans les départements voisins pour trouver un crématorium : Montfermeil et Villetaneuse (93), ou encore Arcueil et Valenton (94), pour les habitants du Nord de la Seine-et-Marne, et Evry-Courcouronnes et Avrainville (91), ou Amilly dans le Loiret, et Joigny, dans l'Yonne, pour ceux qui résident dans le Sud du département.
L'espace funéraire de Saint-Fargeau prévoit de réaliser 500 crémations la première année et ce chiffre devrait augmenter à l'avenir.
Une architecture en osmose avec la nature et le parc naturel du Gâtinais
La conception du bâtiment privilégie l’esprit d’accueil et de recueillement comme nous le souhaitons à certains moments de la vie. Il a été volontairement conçu à l’échelle humaine ce qui lui donne un caractère familial et intime.
D’un point de vue architectural, le bâtiment donne envie d’être découvert, sans rien laisser deviner de son activité. Les espaces d’accueil et de cérémonie ont été dotés de volumes calmes, reposants et suffisamment amples.
Le choix environnemental
Le nouveau crématorium de Saint Fargeau-Ponthierry, est un crématorium de pointe en matière de technologies de crémation avec, entre autres, le four FT III et la ligne de filtration de Facultatieve Technologies.
Le FTIII fait partie de la dernière génération de fours. La chambre de combustion est extra-large pour répondre à la demande croissante de crémations plus importantes aussi bien au niveau du poids qu’au niveau de la taille.
La ligne de filtration Facultatieve Technologies (80 lignes installées à ce jour) demeure le produit phare permettant d’abattre les éventuels polluants générés par la crémation. Les effluents rejetés dans l’atmosphère sont, ainsi, définitivement épurés par un traitement spécifique, avec injection de réactif et un dispositif de filtration. Les résidus de filtration sont collectés et enfermés automatiquement dans un fût hermétique destiné à cet effet. Ce fût sera ensuite acheminé en centre d ‘enfouissement dit de classe 1 pour y recevoir un traitement final. Ce protocole à haute qualité environnementale permet d’abattre de façon spectaculaire les dits polluants et en particulier de faire passer les résultats sans filtration de :
- 100 mg / Nm3 pour les poussières à des valeurs très en dessous de 10 mg / Nm3.
- 1 mg / Nm3 pour le mercure à des valeurs très en dessous de 0,1 mg / Nm3.
- 1 ng / m3 pour les dioxines à des valeurs très en dessous de 0,1 ng / Nm3.
Les autres polluants HCl, SO2 sont également abattus dans des proportions importantes en fonction des exigences de la commune et du niveau de réactif utilisé.
Les Pompes Funèbres Roger Marin ont souhaité également mettre en œuvre les dernières technologies HQE relatives à la sécurité du personnel au moment de la pulvérisation des calcius et du transfert des cendres. Dans ce cas précis, les produits Facultatieve Technologies ont permis de sécuriser ces deux types d’opérations. Le dispositif de pulvérisation ultrarapide doté du cabinet de transfert des cendres est également équipé d’un filtre à manche.
Une famille au service des familles endeuillées
Au cours de son discours, Philippe Le Normand ne manqua pas de rappeler sa fierté de présenter ce crématorium "Sud 77" doté d’une technologie de dernière génération, ni de redire que c’est cette approche "qualité" qui a séduit M. le Maire.
Il a précisé que c’est presque un tiers de la population française, qui choisit aujourd’hui, la crémation comme mode de sépulture (*), et cité : "lorsque nous écoutons les familles, nous retenons plusieurs critères à l’origine de leur décision et principalement :
- Les urnes prennent peu d’espace et peuvent être déplacées sans difficultés.
- Ce mode funéraire peut s’avérer moins coûteux
- L’hygiène et la salubrité, avec le refus de la décomposition en terre…"
Toutefois en tant que professionnel du funéraire, il a attiré l’attention, sur le devenir des cendres, en particulier lorsque le choix énoncé est "La dispersion des cendres", de par son caractère irréversible. Il a insisté sur la nécessité d’être particulièrement attentif à la sensibilisation des familles sur ce point. Notant que les Pompes Funèbres Roger Marin se sont engagés à conserver gratuitement les cendres d’un défunt dans l’enceinte de l’établissement pendant une durée d’un mois et ce, dans le seul but de laisser aux familles, le temps de la réflexion.
Il a remercié particulièrement Marie-Laure Le Normand son épouse et Valérie Racault sa sœur pour leur implication dans le raffinement intérieur du bâtiment. Puis sa mère Claire Marin et tous les collaborateurs qui ont suivi l’évolution du projet. Sans oublier toutes les entreprises et leurs collaborateurs ayant participé de près ou de loin à cette réalisation.
Pour conclure il a rendu un hommage particulier à celui sans qui rien ne serait, son aïeul Roger Marin, qui fut un visionnaire, avec une notion précise et étonnante de l’évolution du secteur funéraire et qui dès les années 60/70 attirait l’attention de ses confrères sur une nécessaire préparation à de grands changements, tels que les transferts de corps sans cercueil, la prévoyance funéraire ou encore l’abolition du monopole.
Les dernières paroles de Philippe Le Normand ont été empreintes d’une grande émotion, particulièrement lorsqu’il a évoqué qu’en 1997 à l’âge de 89 ans, peu avant sont décès, son grand-père lui donnait encore de précieux conseils professionnels et qu’il avait transmis à ses descendants, son désir de satisfaire et de rendre service aux familles endeuillées.
C’est ainsi que sa fille Claire Marin continue à transmettre son savoir accompagnée de deux de ses enfants.
(*)Aujourd'hui, 27 % des obsèques se font par crémation et nous sommes sur la tendance d’un français sur trois à l’horizon 2012, soit 33%. Les 12 crématoriums en activité en Ile-de-France ont réalisé près de 17 000 crémations en 2007.
Pour mémoire : - Dans les années 1970, Roger Marin et Yves Guizard ont créé la Fédération Française des Pompes Funèbres (FFPF) issue des Conseillers Funéraires et de la Chambre Syndicale du Funéraire, regroupant près de 1 800 entreprises réparties sur la France entière. - Il contribue en 1976 à faire adopter le Décret sur les transferts de corps avant mise en bière. - En 1976, avec un groupe de confrères professionnels, il fonde la société du Voeu Funéraire, garantissant ainsi aux souscripteurs la bonne tenue des fonds versés pour leurs obsèques. |
Historique de l’entreprise Roger Marin : Fondée en 1929 par Roger Marin - 1929 : Création de la 1ère agence par Mr Roger Marin, transférée 3 boulevard Bessières à Paris 17ème - 1934 : M. Roger Marin, pressentant un avenir agité et instable, s’installe, et installe sa famille à Champcueil (91) ; il y développe ses services en créant une agence qui deviendra le siège social de son entreprise. Les cercueils sont alors fabriqués par les menuisiers et les caveaux ou les fosses par les maçons des villages. Ses services portent sur la fourniture d’un corbillard hippomobile et du cheval. Il apporte son professionnalisme et devient concessionnaire de nombreuses communes de l’Essonne, du Loiret et de la Seine-et-Marne. - 1936 : Création d’une agence à Clichy (92). - Fin des années 50 : Le corbillard hippomobile est remplacé par un corbillard automobile. - 1964 : Ouverture d’une agence dans le Loiret, à Malesherbes. - 1969 : Constatant que les décès surviennent de plus en plus en milieu hospitalier, il ressent le besoin des familles de rapprocher leur défunt de leur domicile. Il crée le 1er funérarium en France à Champcueil. - 1971 : Création d’une agence dans le Loiret, à Pithiviers. - 1974 : Création d’un second funérarium dans l’Essonne, à Ballancourt. Cet établissement sera doté de 12 cases réfrigérées. Il y intègre une "chambre de catastrophe" permettant de recevoir 80 corps en cas de décès massif (cet équipement s’est avéré d’une grande fonctionnalité lors de la canicule en 2003 !). - 1981 : Reprise de la Société Stranart à La Ferté-Alais (91), spécialisée dans la marbrerie funéraire. - 1982 : M. Marin est rejoint par l’aîné de ses petits-enfants : Philippe Le Normand, suivi de sa fille : Claire Marin. - 1983 : Création d’une agence et d’un funérarium à Courcouronnes (91). - 1984 : Continuité de l’esprit "rapprocher les défunts de leur famille", création d’un Funérarium à Malesherbes (45). - 1987 : Décision de développer le secteur "Marbrerie" du Loiret : Reprise et extension d’une entreprise à Sermaises-du-Loiret. - 1989 : Création d’une agence en Eure-et-Loir, à Toury. - 1991 : Arrivée d’une seconde petite-fille dans l’entreprise : Valérie Racault. - 1996 : Installation d’un Funérarium de proximité à Saclas (91). - 1997 : Création d’une agence à Saint-Fargeau-Ponthierry - 1997 : Création d’un Funérarium à Pithiviers (45). - 2000 : Création d’une agence à Etampes (91). - 2001 : Création d’un centre funéraire à Evry-Courcouronnes comprenant 1 funérarium et 1 crématorium. - 2002 : Déménagement du siège social de Champcueil ; refonte totale des locaux techniques, des bureaux d’accueil des familles et du pôle marbrerie du Sud-Essonne. - 2004 : Reconstruction du Funérarium de La Chapelle-la-Reine (77). - 005 : Création d’un Funérarium à Etampes (91). - 2008 : Mise en service du Crématorium Sud 77 : 1er crématorium de Seine et Marne, mais aussi 1er crématorium d’Ile-de-France à être totalement équipé d’une ligne de filtration : La Seine et Marne devient ainsi le 3ème département français doté d’un équipement de haute technologie (HQE). Pour 2009 d’autres projets sont prêts, pour être continuellement au service des Familles… |
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