Tout commence en 1982... Pascal Leclerc démarre une activité de pompes funèbres sur la commune de Vrigne-aux-bois, et utilise tout naturellement son nom comme dénominations commerciales. L'entreprise se développe plutôt bien avec l'ouverture d’un second point de vente en 1987 à Sedan puis d'un troisième, en 1993 à Charleville et dont la surface commerciale avoisine les 420 m2.
C'est en 1994 que Édouard Leclerc assigne Pascal Leclerc en justice pour l'utilisation du nom Leclerc dans son enseigne. Ce fut le début de 13 années de galère...
Avec 650 convois par an et près de 180 monuments, les affaires de Pascal Leclerc étaient plutôt florissantes, mais le poids psychologique de la procédure et surtout le coût qu'elle représente ont obligé l'entrepreneur ardennais à revendre son affaire en 1996. Il en restera tout de même le directeur jusqu'en 2000, puis il quittera les pompes funèbres des Ardennes pour s'investir dans un nouveau projet, à savoir, le développement d'un nouveau concept de concession funéraire, s'appuyant sur un document obtenu lors des négociations avec les avocats de Édouard Leclerc et grâce auquel il avait l'autorisation de déposer la marque pompe funèbre Pascal Leclerc du moment que l'activité de l'enseigne se cantonnait strictement au secteur funéraire et que les couleurs ainsi que le visuel de l'enseigne soit bien distinct de ce des établissements E. Leclerc.
En 2006, le tribunal de Charleville-Mézières, en première instance, donne raison à Édouard Leclerc mais l'ardennais ne baisse pas pour autant les bras et fais appel du jugement.
L'avenir lui donnera raison puisque le 2 avril dernier, la cour d'appel de Reims cassera le jugement en première instance pour finalement accorder à Pascal Leclerc les pleins droits concernant l'utilisation de son nom.
Aujourd'hui, Pascal Leclerc est un homme soulagé et serein qui est en passe de concrétiser le projet qu'il avait démarré en 2001, grâce notamment à l'ouverture de sept concessions sur l’ensemble du territoire ainsi que la signature en cours de négociation avec un groupe français comprenant une trentaine d'enseignes.
Soulagé et heureux de pouvoir enfin développer au concept, Pascal Leclerc nous confie : "je ne toucherai aucune indemnité pour le préjudice subi, mais j'ai le "Droit" avec moi, et ça, c'est l’essentiel !"
C'est en 1994 que Édouard Leclerc assigne Pascal Leclerc en justice pour l'utilisation du nom Leclerc dans son enseigne. Ce fut le début de 13 années de galère...
Avec 650 convois par an et près de 180 monuments, les affaires de Pascal Leclerc étaient plutôt florissantes, mais le poids psychologique de la procédure et surtout le coût qu'elle représente ont obligé l'entrepreneur ardennais à revendre son affaire en 1996. Il en restera tout de même le directeur jusqu'en 2000, puis il quittera les pompes funèbres des Ardennes pour s'investir dans un nouveau projet, à savoir, le développement d'un nouveau concept de concession funéraire, s'appuyant sur un document obtenu lors des négociations avec les avocats de Édouard Leclerc et grâce auquel il avait l'autorisation de déposer la marque pompe funèbre Pascal Leclerc du moment que l'activité de l'enseigne se cantonnait strictement au secteur funéraire et que les couleurs ainsi que le visuel de l'enseigne soit bien distinct de ce des établissements E. Leclerc.
En 2006, le tribunal de Charleville-Mézières, en première instance, donne raison à Édouard Leclerc mais l'ardennais ne baisse pas pour autant les bras et fais appel du jugement.
L'avenir lui donnera raison puisque le 2 avril dernier, la cour d'appel de Reims cassera le jugement en première instance pour finalement accorder à Pascal Leclerc les pleins droits concernant l'utilisation de son nom.
Aujourd'hui, Pascal Leclerc est un homme soulagé et serein qui est en passe de concrétiser le projet qu'il avait démarré en 2001, grâce notamment à l'ouverture de sept concessions sur l’ensemble du territoire ainsi que la signature en cours de négociation avec un groupe français comprenant une trentaine d'enseignes.
Soulagé et heureux de pouvoir enfin développer au concept, Pascal Leclerc nous confie : "je ne toucherai aucune indemnité pour le préjudice subi, mais j'ai le "Droit" avec moi, et ça, c'est l’essentiel !"
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