À quelques jours de la Toussaint, on a pu faire le constat d’une véritable révolution dans le rapport de la société à la mort et aux obsèques. La Fondation Services Funéraires – Ville de Paris (SFVP) souhaite accompagner les mutations sociales de façon pratique et engagée.
Le vendredi 21 octobre dernier elle a lancé son premier appel à projets.
En plus d’un soutien aux associations d’aide aux familles en deuil, la fondation accompagnera des projets de recherche. Les endeuillés savent rarement formuler des demandes. C’est à la société et aux professionnels de proposer un accompagnement personnalisé dans le cheminement singulier de chacun en période de deuil.
Présentation de la Fondation
Les SFVP ont décidé de créer une Fondation sous l’égide de la Fondation de France car les rites funéraires subissent actuellement une véritable révolution. Ces modifications rendent encore plus difficile le processus de deuil. Ainsi, cette Fondation a pour objet de financer des associations, des chercheurs, des actions qui œuvrent pour le soutien des familles en deuil, les obsèques des indigents et des personnes dépourvues de ressources suffisantes ou qui effectuent des recherches et des études sur le deuil, les obsèques et le funéraire en général.
Sa gouvernance, le comité exécutif :
- Marinette Bache, présidente de la Fondation, conseillère de Paris depuis 1995, elle est élue du XXe arrondissement.
- François Michaud Nérard, directeur général des SFVP, initiateur de la création de la Fondation SFVP, vice-président de l’ du Pôle Funéraire Public (UPFP), directeur général des SFVP, auteur de La révolution de la mort (Vuibert 2008).
- Emmanuel Hirsch, professeur des universités, directeur de l’Espace éthique Assistance publique-Hôpitaux de Paris, et du Département de recherche en éthique, Université Paris-Sud 11 EA 1610 "Études sur les sciences et les techniques", Université Paris-Sud 11. L’Espace éthique/ AP-HP est Centre collaborateur pour la bioéthique de l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Dans le cadre du Plan Alzheimer 2008-2012 il coordonne l’Espace national de réflexion éthique sur la maladie d’Alzheimer.
- Marie-Laure Muchery, chargée de fondations. Interlocutrice principale de la Fondation SFVP au sein de la Fondation de France, elle a accompagné le projet de création de la Fondation et suit son fonctionnement quotidien. Elle représente la Fondation de France au comité exécutif.
- Marie-Claude Chéramy, directrice générale des Pompes Funèbres intercommunales de Tours, trésorière de l’ du Pôle Funéraire Public (UPFP).
- Cendrine Chapel, directeur général adjoint aux SFVP, directeur des services aux familles.
- Jean-Paul Rocle, chargé de mission cérémonies et ritualités au crématorium du Père-Lachaise Il est en charge des relations avec les associations culturelles et cultuelles.
Une fondation sous égide
Les SFVP ont fait le choix de la création d’une fondation sous égide, donc sans personnalité morale propre. Ainsi, les subventions sont allouées sous le contrôle de la Fondation de France qui effectue les vérifications nécessaires pour pouvoir engager sa responsabilité au service des fondations qu’elle abrite.
Une jeune pousse
La Fondation des SFVP a vu le jour le 12 avril dernier. Sa vocation est, elle, intemporelle puisque la société ne cesse d’évoluer.
Les moyens alloués
Les SFVP se sont engagés à verser, au profit de leur fondation, un minimum de 200 000 € sur 5 ans. Cela permet d’envisager des projets ambitieux. En 2011, la Fondation a redistribué 34 000 €.
Les actions soutenues
La Fondation SFVP peut allouer des subventions destinées à soutenir des projets innovants ou permettant aux personnes physiques ou morales de mener à bien leur mission. Les projets et missions soutenus doivent entrer dans l’objet de la fondation et ne pas poursuivre de but lucratif ou commercial.
Le soutien de projets
La Fondation se propose de soutenir, en priorité, des projets sur trois thèmes définis :
1 - La mort périnatale
Il s’agit du décès des enfants autour de la naissance, cela peut être in utero ou jusqu’à 28 jours après l’accouchement. Aujourd’hui, ces cas de décès sont extrêmement rares (moins de 4 pour 1000 grossesses), on ne sait plus aider et soutenir les personnes confrontées à ce type de deuil. Il est donc indispensable de mettre en place des cérémonies et des lieux de mémoire qui font sens pour aider les proches à gérer la mort de ce tout-petit.
2 - Les morts sans corps
Dans le cas de don du corps, le défunt est retiré à la famille avant même qu’elle ait pu faire le moindre geste d’adieu ; le deuil est donc d’autant plus difficile. De même, quelle cérémonie organiser pour une personne disparue ? Quel lieu de mémoire pour les proches ? Là encore, il est indispensable de mettre au point des rituels de substitution et des supports mémoriels.
3 - Les rites funéraires
La mort a toujours été réglée, dans toutes les civilisations, par la magie puis par les religions. À l’heure où 41 % de nos concitoyens se déclarent athées ou non-croyants, et où les pratiquants représentent à peine 10 % de la population, il est nécessaire d’aider les familles dans l’organisation des obsèques. A fortiori lorsqu’il s’agit de la mort d’une personne jeune ou d’une mort soudaine. Il est à noter que, selon le mode de sépulture choisi, l’organisation des obsèques peut varier sensiblement. En effet, lorsqu’il s’agit d’une crémation, des salles de cérémonie sont proposées aux familles dans l’enceinte même du crématorium. En revanche, s’il s’agit d’une inhumation sans passage par un lieu de culte, le corps va directement de l’hôpital au cimetière sans célébration.
La Fondation SFVP a déjà soutenu quelques initiatives parmi lesquelles une étude sur la mort des grands adolescents, une autre qui permettrait de savoir comment parler de la crémation aux enfants ou encore un colloque de formation destiné aux professionnels, intitulé "Mort d’un enfant autour de la naissance, quel accompagnement ?"
Les subventions de fonctionnement
La Fondation peut également soutenir l’action au quotidien des associations avec lesquelles les SFVP collaborent sans but commercial et si leur action s’inscrit dans la durée. C’est le cas, par exemple, pour le Collectif des morts de la rue qui accompagne les obsèques des hommes et des femmes qui n’ont personne pour s’en occuper. Les membres ont mis au point un cérémonial. Cet adieu se déroule en présence de bénévoles qui lisent un texte, déposent des fleurs et une plaque sur la sépulture.
De son côté, l’association Vivre son deuil bénéficie d’une aide de la Fondation SFVP pour participer à l’organisation de la cérémonie des tout-petits : cérémonie trimestrielle, au crématorium du Père-Lachaise, en souvenir des enfants décédés en période périnatale.
Pour une question éthique, la Fondation se refuse à soutenir des actions qui seraient mises en œuvre en amont du décès (soins palliatifs par exemple).
Dossiers de candidature
Les dossiers de candidature sont examinés au minimum deux fois par an. La consultation écrite des membres du comité exécutif est prévue en cas d’urgence.
Pour qu’une subvention soit allouée, le projet doit être validé par la majorité. La Fondation de France effectue un contrôle de conformité avant de procéder au versement de la subvention.
Présentation de la Fondation
Les SFVP ont décidé de créer une Fondation sous l’égide de la Fondation de France car les rites funéraires subissent actuellement une véritable révolution. Ces modifications rendent encore plus difficile le processus de deuil. Ainsi, cette Fondation a pour objet de financer des associations, des chercheurs, des actions qui œuvrent pour le soutien des familles en deuil, les obsèques des indigents et des personnes dépourvues de ressources suffisantes ou qui effectuent des recherches et des études sur le deuil, les obsèques et le funéraire en général.
Sa gouvernance, le comité exécutif :
- Marinette Bache, présidente de la Fondation, conseillère de Paris depuis 1995, elle est élue du XXe arrondissement.
- François Michaud Nérard, directeur général des SFVP, initiateur de la création de la Fondation SFVP, vice-président de l’ du Pôle Funéraire Public (UPFP), directeur général des SFVP, auteur de La révolution de la mort (Vuibert 2008).
- Emmanuel Hirsch, professeur des universités, directeur de l’Espace éthique Assistance publique-Hôpitaux de Paris, et du Département de recherche en éthique, Université Paris-Sud 11 EA 1610 "Études sur les sciences et les techniques", Université Paris-Sud 11. L’Espace éthique/ AP-HP est Centre collaborateur pour la bioéthique de l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Dans le cadre du Plan Alzheimer 2008-2012 il coordonne l’Espace national de réflexion éthique sur la maladie d’Alzheimer.
- Marie-Laure Muchery, chargée de fondations. Interlocutrice principale de la Fondation SFVP au sein de la Fondation de France, elle a accompagné le projet de création de la Fondation et suit son fonctionnement quotidien. Elle représente la Fondation de France au comité exécutif.
- Marie-Claude Chéramy, directrice générale des Pompes Funèbres intercommunales de Tours, trésorière de l’ du Pôle Funéraire Public (UPFP).
- Cendrine Chapel, directeur général adjoint aux SFVP, directeur des services aux familles.
- Jean-Paul Rocle, chargé de mission cérémonies et ritualités au crématorium du Père-Lachaise Il est en charge des relations avec les associations culturelles et cultuelles.
Une fondation sous égide
Les SFVP ont fait le choix de la création d’une fondation sous égide, donc sans personnalité morale propre. Ainsi, les subventions sont allouées sous le contrôle de la Fondation de France qui effectue les vérifications nécessaires pour pouvoir engager sa responsabilité au service des fondations qu’elle abrite.
Une jeune pousse
La Fondation des SFVP a vu le jour le 12 avril dernier. Sa vocation est, elle, intemporelle puisque la société ne cesse d’évoluer.
Les moyens alloués
Les SFVP se sont engagés à verser, au profit de leur fondation, un minimum de 200 000 € sur 5 ans. Cela permet d’envisager des projets ambitieux. En 2011, la Fondation a redistribué 34 000 €.
Les actions soutenues
La Fondation SFVP peut allouer des subventions destinées à soutenir des projets innovants ou permettant aux personnes physiques ou morales de mener à bien leur mission. Les projets et missions soutenus doivent entrer dans l’objet de la fondation et ne pas poursuivre de but lucratif ou commercial.
Le soutien de projets
La Fondation se propose de soutenir, en priorité, des projets sur trois thèmes définis :
1 - La mort périnatale
Il s’agit du décès des enfants autour de la naissance, cela peut être in utero ou jusqu’à 28 jours après l’accouchement. Aujourd’hui, ces cas de décès sont extrêmement rares (moins de 4 pour 1000 grossesses), on ne sait plus aider et soutenir les personnes confrontées à ce type de deuil. Il est donc indispensable de mettre en place des cérémonies et des lieux de mémoire qui font sens pour aider les proches à gérer la mort de ce tout-petit.
2 - Les morts sans corps
Dans le cas de don du corps, le défunt est retiré à la famille avant même qu’elle ait pu faire le moindre geste d’adieu ; le deuil est donc d’autant plus difficile. De même, quelle cérémonie organiser pour une personne disparue ? Quel lieu de mémoire pour les proches ? Là encore, il est indispensable de mettre au point des rituels de substitution et des supports mémoriels.
3 - Les rites funéraires
La mort a toujours été réglée, dans toutes les civilisations, par la magie puis par les religions. À l’heure où 41 % de nos concitoyens se déclarent athées ou non-croyants, et où les pratiquants représentent à peine 10 % de la population, il est nécessaire d’aider les familles dans l’organisation des obsèques. A fortiori lorsqu’il s’agit de la mort d’une personne jeune ou d’une mort soudaine. Il est à noter que, selon le mode de sépulture choisi, l’organisation des obsèques peut varier sensiblement. En effet, lorsqu’il s’agit d’une crémation, des salles de cérémonie sont proposées aux familles dans l’enceinte même du crématorium. En revanche, s’il s’agit d’une inhumation sans passage par un lieu de culte, le corps va directement de l’hôpital au cimetière sans célébration.
La Fondation SFVP a déjà soutenu quelques initiatives parmi lesquelles une étude sur la mort des grands adolescents, une autre qui permettrait de savoir comment parler de la crémation aux enfants ou encore un colloque de formation destiné aux professionnels, intitulé "Mort d’un enfant autour de la naissance, quel accompagnement ?"
Les subventions de fonctionnement
La Fondation peut également soutenir l’action au quotidien des associations avec lesquelles les SFVP collaborent sans but commercial et si leur action s’inscrit dans la durée. C’est le cas, par exemple, pour le Collectif des morts de la rue qui accompagne les obsèques des hommes et des femmes qui n’ont personne pour s’en occuper. Les membres ont mis au point un cérémonial. Cet adieu se déroule en présence de bénévoles qui lisent un texte, déposent des fleurs et une plaque sur la sépulture.
De son côté, l’association Vivre son deuil bénéficie d’une aide de la Fondation SFVP pour participer à l’organisation de la cérémonie des tout-petits : cérémonie trimestrielle, au crématorium du Père-Lachaise, en souvenir des enfants décédés en période périnatale.
Pour une question éthique, la Fondation se refuse à soutenir des actions qui seraient mises en œuvre en amont du décès (soins palliatifs par exemple).
Dossiers de candidature
Les dossiers de candidature sont examinés au minimum deux fois par an. La consultation écrite des membres du comité exécutif est prévue en cas d’urgence.
Pour qu’une subvention soit allouée, le projet doit être validé par la majorité. La Fondation de France effectue un contrôle de conformité avant de procéder au versement de la subvention.
Les personnes ou associations souhaitant exposer leurs projets en vue de bénéficier d’une subvention sont invitées à envoyer leur dossier par mail à : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. ou par courrier à l’adresse postale de la Fondation SFVP, 2-12 rue de Bellevue, 75019 Paris. Le dossier de candidature est téléchargeable sur le site : www.servicesfuneraires.fr, rubrique Fondation.
Les dossiers doivent nécessairement être composés des éléments suivants :
- le fascicule de demande de subvention dûment rempli,
- une lettre d’intentions présentant le projet et donnant le planning prévisionnel et le plan de financement,
- les statuts de l’association ainsi que la parution de sa création au Journal officiel,
- la liste des membres de son Conseil d’administration,
- le rapport d’activité et des comptes annuels clos de l’année précédente,
- un RIB.
Appel à projets 2012-2013
Faire progresser les pratiques autour de la mort et du deuil. Former et agir. Dates limites de réception des dossiers :
- mai 2012,
- novembre 2012,
- mai 2013,
- novembre 2013.
- le fascicule de demande de subvention dûment rempli,
- une lettre d’intentions présentant le projet et donnant le planning prévisionnel et le plan de financement,
- les statuts de l’association ainsi que la parution de sa création au Journal officiel,
- la liste des membres de son Conseil d’administration,
- le rapport d’activité et des comptes annuels clos de l’année précédente,
- un RIB.
Appel à projets 2012-2013
Faire progresser les pratiques autour de la mort et du deuil. Former et agir. Dates limites de réception des dossiers :
- mai 2012,
- novembre 2012,
- mai 2013,
- novembre 2013.
| Les Services Funéraires – Ville de Paris Une Société d’Économie Mixte de la Ville de Paris Une société de service public Créée en 1998, la SAEMPF est une société d’économie mixte totalement contrôlée par la ville de Paris. Elle propose au public les SFVP et les crématoriums du Père-Lachaise et de Champigny-sur-Marne. Cette société réunit un personnel de statut privé et des fonctionnaires détachés de la ville de Paris. Elle allie dans son capital la mairie de Paris, un partenaire institutionnel de référence, la Caisse des dépôts et consignations, un marbrier et une mutuelle. La SAEMPF est présidée par une conseillère de Paris, Marinette Bache. Son directeur général est François Michaud Nérard. Le Conseil d’administration est en grande partie composé d’élus de Paris, de la majorité comme de l’opposition. La diversité des métiers Aux SFVP, les qualifications et les métiers sont très diversifiés : conseillers funéraires, conducteurs d’appareils de crémation, agents de planning, chefs et techniciens de convoi, chauffeurs, maîtres de cérémonie – sur les convois et au crématorium – préparateurs, techniciens, administratifs, etc. Parce qu’il n’existe pas de formation initiale pour le secteur funéraire à l’école ou à l’université, les SFVP investissent beaucoup dans la reconversion et la formation professionnelles. Des rôles ambitieux - Peser sur le marché devenu concurrentiel des pompes funèbres en matière de prix, de qualité et d’éthique. - Assurer des missions de service public et de gestion des plans de crise 24h/24 et 365 jours par an. - Assurer une veille sociétale et contribuer aux évolutions sociologiques, législatives, environnementales et technologiques. - Répondre de façon ouverte aux attentes des différentes communautés culturelles et cultuelles. |
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La Fondation de France
Depuis 1969, la Fondation de France soutient des projets concrets et innovants qui répondent aux besoins des personnes face aux problèmes posés par l’évolution rapide de la société. Elle agit principalement dans trois domaines : l’aide aux personnes vulnérables, le développement de la connaissance (recherche, culture, formation) et l’environnement. Elle favorise également le développement de la philanthropie. Elle aide les donateurs à choisir les meilleurs projets, conseille les fondateurs sur leur champ d’intervention, leur stratégie et sur le cadre juridique et fiscal le plus approprié. Indépendante et privée, elle ne reçoit aucune subvention et ne peut agir que grâce à la générosité des donateurs. Sa mission Être le trait d’ entre les donateurs, les mécènes et les acteurs de terrain afin de permettre la réalisation de projets philanthropiques. Ses modes d’intervention Collecter et gérer des fonds, apporter une expertise dans la redistribution des dons aux causes prioritaires. Créer et accompagner le fonctionnement des fonds et fondations sous égide. Favoriser la générosité au-delà des frontières en recevant et redistribuant des dons transnationaux. Ses actions Choisir les meilleurs projets dans toute la France et dans les pays où elle travaille, en mettant la personne au centre de ses actions en favorisant sa dignité, son autonomie et en lui donnant les moyens d’être acteur de sa vie. Attribuer des subventions, prix et bourses. Apporter conseils et appui aux mécènes. Ses valeurs L’indépendance. La responsabilité. L’engagement. L’audace. La qualité. Les chiffres clés 2010 - 573 000 donateurs (donateurs actifs sur 4). - 682 fonds et fondations individualisés sous son égide. - 127 millions d’euros consacrés à la sélection, la distribution et au suivi de 8 000 subventions, prix et bourses. - 7 délégations régionales. - 150 salariés et 506 bénévoles. www.fondationdefrance.org
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