Parti, en 2009, d’un projet collaboratif, destiné à créer une gamme de nouveaux produits, plus design, susceptibles d’être distribués dans les circuits traditionnels du marché funéraire… le chemin parcouru par la Chambre des Métiers et de l’Artisanat de la Haute-Vienne est remarquable.
10 ans plus tard, la structure existante qui a supporté toutes les actions réalisées jusque-là se voit évoluer pour pouvoir aller encore plus loin et assumer toutes les missions qu’elle s’est fixées. Quoi qu’il en soit, création, innovation, partenariat, accompagnement, formation et soutient restent les maîtres-mots de Jean Exner, directeur de la Chambre de métiers, et de l’ensemble de son équipe, dont l’esprit d’initiative est toujours aussi prolixe. Rencontre…
La chambre funéraire n’est pas un bâtiment comme un autre. Elle relève parfois du concept d’espace clos, propice au recueillement, protecteur des aléas de la vie courante. La famille Gay en a-t-elle eu conscience lorsqu’elle a conçu sa nouvelle chambre funéraire dans la vallée de l’Ay ? Peu importe… Mieux : rien n’est plus fort que le ressenti spontané. Il n’y a que cela qui marche vraiment.
Décider de l’implantation d’une chambre funéraire ne souffre pas d’approximations, ou encore de reporter à plus tard les impératifs législatifs et réglementaires. Comment ne pas se perdre dans ce maquis de textes, comment ne pas sombrer dans des budgets qui ne sont pas extensibles, comment réduire au maximum la part du hasard pour que cette aventure d’entreprise ne se termine pas en cauchemar ?… Tout simplement en faisant appel à d’authentiques professionnels du secteur qui sauront vous accompagner réellement de A à Z. Entretien avec Laurent Haÿ, BESSON Funéraire…
La diminution des décès à domicile à partir des années 1960, au profit des établissements de santé, a rendu nécessaire la mise en place d’un réel service mortuaire au sein des établissements de santé, publics ou privés, qui enregistrent un nombre important de décès (actuellement fixé à plus de 200 par an). Ce service se caractérise par l’obligation pour ces établissements de disposer d’une chambre mortuaire dans laquelle, aux termes de l’art. L. 2223-39 du CGCT, "doit être déposé le corps des personnes qui y sont décédées".
Dix ans après la mise en service du crématorium de Champigny-sur-Marne (Val-de-Marne), le funéraire public francilien a fêté le 20 avril dernier cet équipement qui se veut modèle, bilan à l’appui. Initié par le Syndicat Intercommunal FUnéraire de la RÉgion Parisienne (SIFUREP), sa gestion est déléguée aux Services Funéraires de la Ville de Paris.
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