Une cérémonie, comme son nom l’indique, suppose que les officiants soient en tenue, et que celle-ci soit conforme aux attentes des familles. Fini les pantalons en accordéon sur les chevilles, adieu les vestes trois tailles au-dessus. L’expression familière "être fagoté comme l’as de pique", mise à l’honneur par Molière au XVIIe siècle dans sa pièce "Le Dépit amoureux", désigne un "idiot" qui ne ressemble à rien. Ne nous voilons pas la face, tous, en tant que professionnels du funéraire, avons eu un jour ce genre de pensée lors d’un convoi. Aujourd’hui, plus d’excuses, encore faut-il frapper à la bonne porte sous peine de "se prendre une veste". Confidences et bonne adresse…