Lors de son Assemblée générale qui s’est tenue les 8 et 9 juin derniers, MUTAC a célébré son 50e anniversaire entouré de ses délégués, de la gouvernance et des salariés de la Mutuelle.
C’est le 12 mai dernier que se réunissaient, à Paris, les adhérents de la Chambre Syndicale Nationale de l’Art Funéraire (CSNAF) pour leur Assemblée générale ordinaire sous la nouvelle présidence de Sylvestre Olgiati. Marquée cette année par la mise en route de quelques grands chantiers passionnants, prometteurs de perspectives positives pour l’avenir, et la préparation de FUNÉRAIRE PARIS 2023, la matinée fut riche… et studieuse également, avec la présentation des résultats de la nouvelle enquête Funérama réalisée par le CRÉDOC(1).
Le Groupe Dunatis a fêté les 100 ans de son existence en invitant sa centaine de salariés à une soirée festive sur Lyon. Delfosse, société-mère du Groupe, a connu cinq générations familiales de dirigeants depuis 1923 et s’implante désormais sur le marché britannique, signe d’une croissance pleinement assumée par Damien Arnaud, président du Groupe, et Boris, son frère, directeur général en charge notamment des finances.
Ambiance d’une soirée sympa réunissant les salariés autour du cercle familial…
Le 27 avril dernier se déroulait à l’Abbaye des Prémontrés de Pont-à-Mousson en Meurthe-et-Moselle la 4e édition du Funétour. Cet évènement a vu le jour en 2017 et malgré une pause de 3 ans due à la crise sanitaire de la Covid-19, il attire à chaque fois de plus en plus de participants.
Comme il est de coutume au début du printemps, le SIFUREP(1) organisait le 18 avril dernier à Paris son colloque annuel, avec, pour thème, pour cette nouvelle édition, la restauration du patrimoine sépulcral et de l’art funéraire. Étaient conviées un panel de personnalités connues pour leur expertise dans ces domaines à s’exprimer. Différents aspects de la thématique furent abordés, apportant notamment des réponses juridiques et financières…
Le SICOMU (Syndicat Intercommunal du Cimetière-Crématorium de l’Orme à Moineaux des Ulis) a été créé par arrêté interpréfectoral (Essonne et Hauts-de-Seine) le 31 janvier 1978, avant les lois sur la décentralisation.
Rituel et spiritualité, une nécessaire conjugaison
Un rituel se définit comme étant une célébration religieuse. Son caractère sacré est donc indéniable et, en cela, elle se sépare des activités du quotidien. C’est donc à un moment très particulier que le rituel entre en jeu et se veut une signature morale à laquelle adhèrent ses participants. Le fait de le pratiquer vous élève par-delà les vicissitudes d’une vie sans repère. Il est une obole, une offrande qui se réalise par la mise en valeur de symboles. Obole (offrande) et symbole rassemble alors que "diabole" sépare… cette idéologie trifonctionnelle n’étant que l’un des résumés synthétiques de la nature humaine.
Nous avons besoin de rituels dans nos vies et pas nécessairement que des religieux. Ne pas pratiquer de religion ne fait pas de vous une personne absente de spiritualité, bien au contraire. C’est justement celle-ci qui s’exprime à de nombreuses reprises dans nos vies, notamment lors de la célébration d’obsèques.
Ce fut le cas lors de ceux d’Agnès Lassalle qui trouva la mort poignardée par l’un de ses élèves en mars dernier à Saint-Jean-de-Luz. Cette célébration rassembla une assistance nombreuse et, à la sortie de l’église, un homme se mit à danser devant le cercueil disposé sur un reposoir. Cet homme, c’était le compagnon de la défunte. "C’est ma manière de dire au revoir" et d’ajouter lors d’un entretien avec notre confrère de l’émission "Sept à huit" sur TF1 : "On s’est connus par une danse, donc il fallait finir par une danse". Les réactions de sympathie, entre autres sur les réseaux sociaux, furent unanimes.
Outre la disparition tragique de l’enseignante qui souleva l’indignation générale, les témoignages s’orientèrent vers l’expression de cette forme inattendue de rituel qui se veut un geste ultime d’amour et de mémoire envers la personne défunte. Par cette danse, cet homme nous fait l’offrande d’une histoire d’amour, la sienne et celle de sa compagne défunte. Il nous transmet ainsi une générosité transcendée par cette expression corporelle, il nous fait découvrir l’intimité de son couple et, en toute transparence, nous adresse un message d’espoir et de partage. C’est bien là l’essence même d’un rituel, rassembler et partager.
Bien qu’il soit délicat et sensible de s’abstraire de cet assassinat tragique, revenons sur les réactions des réseaux sociaux. Tous ces témoignages reflètent l’immense besoin de spiritualité et de repères porteurs de sens lors d’événements telles des funérailles. Le message est clair : une cérémonie d’obsèques n’est pas celle de l’opérateur funéraire, elle reste celle de la famille.
C’est l’instant ultime, le dernier acte social de la personne désormais défunte, livrée à l’éternité de nos mémoires. La parole est donc essentiellement aux proches et pas nécessairement par le verbe, mais notamment par des actes tels ceux du compagnon de l’enseignante qui, en quelques instants, résuma une merveilleuse histoire, la leur. Donner du sens est bien la préoccupation première à laquelle nous devons ouvrir les voies de la réflexion des familles. Nous sommes des médiateurs, seulement des médiateurs, et cette mission impose d’être une force de proposition lorsque le besoin est exprimé, mais également des facilitateurs lorsque l’initiative des proches prend le pas sur le scénario idéal et chronométré de l’opérateur de la cérémonie.
Soyons honnêtes avec nous-mêmes. Penchons-nous avec attention sur le contenu de nos célébrations et, avec lucidité et sincérité, posons-nous cette question "Ces obsèques que je mets en œuvre sont-elles celles que je souhaiterais réellement pour moi ou mes proches ?".
Le 22 mars, à l’occasion d’un webinaire intitulé "Entreprises publiques locales et service public funéraire", était lancé le Guide "Les Epl, une bonne solution pour la gestion des services funéraires", coréalisé par la Fédération des élus des Entreprises publiques locales (FedEpl) et l’Union du Pôle Funéraire Public (UPFP). Cet ouvrage est à destination des élus et a vocation à mieux leur faire connaître la plus-value et les atouts de la gestion du funéraire par une Epl, et à leur donner les clés pour qu’ils puissent s’emparer de ce sujet ô combien important pour les territoires…
Après un déjeuner réussi à Montargis (45) le 9 février dernier, qui avait permis de réunir les professionnels de la région, la Fédération Française des Pompes Funèbres a repris la route et organisait à Bordeaux (33) le jeudi 16 mars une soirée à destination des entreprises indépendantes, adhérentes ou non, pour parler "métier".
Depuis sa création en 1937, la Confédération des Professionnels du Funéraire et de la Marbrerie (CPFM) a pour objectif de représenter tous les acteurs du secteur funéraire, quels que soient leur taille, leur statut ou leur activité, de les accompagner dans leur quotidien, de défendre leurs intérêts et de construire avec eux l’avenir de la profession.
Seule entreprise marbrière inscrite au répertoire des Ateliers d’Art de France et donc reconnue comme détentrice d’un savoir-faire artisanal unique dans l’Art Funéraire, FUNÉPRO rejoint le cercle renommé des plus de 6 000 adhérents de la chambre syndicale des métiers d'art plus couramment appelée Ateliers d’Art de France.
Partage de ce cheminement artistique avec Sylvestre Olgiati, dirigeant de FUNÉPRO.
La Fédération Française des Pompes Funèbres (FFPF) va à la rencontre de ses adhérents. Rencontre avec Jessica Roche, conseillère funéraire dans l’entreprise de Pompes Funèbres Guérin, située à Courtenay, dans le Loiret.
Au cours de l’automne 2022, la FFPF et l’ENAMEF emménageaient dans de nouveaux locaux, dans le cœur stratégique de Rosny-sous-Bois, au neuvième étage d’un centre d’affaires de qualité, très bien desservi par de nombreux transports en commun...
et c’est le 12 janvier dernier que ceux-ci étaient inaugurés en présence de personnalités du monde funéraire, de nombreux adhérents de la FFPF et des intervenants de l'ENAMEF.
Fin d’année 2022, les adhérents du Groupe UDIFE ont concrétisé le rapprochement initié en 2021 du premier réseau de pompes funèbres et marbriers indépendants français avec deux entreprises bretonnes de fabrication de monuments.
A l’occasion de ses 50 ans, l’Institut Belge de Thanatopraxie organise un congrès sur l’art de la restauration post-mortem, dédié aux professionnels du funéraire et réunissant quelques conférenciers de renom !
La journée se terminera par un repas de gala et la remise des diplômes aux étudiants de la session 2019 – 2021.
Les conférences seront données en traductions simultanées: Français, Néerlandais et Anglais!
Vous pouvez faire une réservation complète (Conférences + Repas de Gala & Remise des diplômes) ou uniquement pour les conférences/diner de gala. (Evènement réservé uniquement aux étudiants et professionnels du secteur.)
PROGRAMME:
Conférences:
8h00 – 9h00 : Accueil des participants
9h00 – 10h30 : Conférence Glyn Tallon
10h45 – 12h15: Conférence de Benjamin Schmidt
12h15 – 13h30 : Pause – Lunch
13h30 – 15h00 : Conférence de Karl Wenzel
15h30 – 17h00 : Conférence de Amanda King
Repas:
19h00 : Repas de Gala & Remise de diplômes
LIEU:
CENTRE DE CONGRÈS de Mons
(MICX – WCCM)
Av. Mélina Mercouri 9, 7000 Mons
PRIX:
- Tarif conférences + lunch de midi: 80,00€ (tarif normal)
- Tarif conférences + lunch de midi: 60,00€ (Etudiants IFAPME en Agent funéraire et Thanatopracteur)
Une nouvelle année de travail s’est ouverte pour vous. Quant à moi j’aborde ma première année de retraite après 40 années de service dans le secteur du funéraire. Nombreux (mais de moins en moins…) sont ceux qui m’ont connu comme journaliste puis comme rédacteur en chef de Funéraire Magazine. Début 2018 j’ai voulu finaliser ma carrière en revenant sur le terrain comme directeur du développement au sein du Groupe Dabrigeon, expérience qui a pris fin le 31 décembre dernier.
L’association les AMIS DU MUSÉE FUNÉRAIRE NATIONAL a été fondée 1989 par Pascal Moreaux avec quelques amis spécialistes du domaine funéraire dans le but de faire connaître et de défendre le patrimoine funéraire.
Parmi les lauréats des "Trophées Territoriaux du funéraire" organisés par Previseo Obsèques*, dans la commune des Ulis, le SICOMU (Syndicat Intercommunal du Cimetière de l’Orme à Moineaux), primé pour la réalisation de fresques par des artistes grapheurs en intérieur et en extérieur, ainsi que le relooking des containers poubelles pour animer et valoriser le cimetière.
L'année 2023 démarre fort pour FUNECAP GROUPE et la marque ROC ECLERC, après une année 2022 déjà marquée par l'obtention de multiples récompenses et prix, qui viennent conforter le Groupe dans sa stratégie qualité.
FUNEXPO LYON était enfin de retour ! Durant les trois de jours du salon, les échanges se firent sous le signe des retrouvailles, de la bonne humeur et de rencontres conviviales. Une bonne occasion de faire un petit retour sur l’expérience vécue et d'envisager l’avenir sous de nouveaux jours… (1re partie).
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